Les missions augmentent, pas le salaire
Ces dernières années, les suppressions de postes ont continué, alourdissant la charge de travail. Dans de nombreux établissements, et notamment en lycée, les postes ne sont pas pourvus ou pas entièrement, aggravant la charge de travail et dégradant la prise en charge des publics.
Les mises en réseaux d’établissements ne sont qu’un moyen cosmétique de gérer la pénurie et ces réorganisations n’améliorent en rien ni le service public, ni les conditions de travail.
La période du COVID et des confinements successifs a encore accentué cette surcharge, alors que nous nous sommes trouvé·es confronté•es à des situations difficiles sans moyens de prise en charge à lahauteur des besoins.
Pourtant, les professions médico-sociales de l’éducation nationale se sont retrouvées exclues du Ségur. SUD éducation réclame un recrutement à hauteur des besoins et l’augmentation immédiate des salaires,rendue d’autant plus urgente par l’inflation galopante.
Voter Sud , c’est voter pour
✅L’amélioration des conditions de travail.
✅L’arrêt des atteintes à la déontologie et au secret professionnel.
✅Le maintien des INFENES et des Assistants et Assistantes de Services Sociaux dans l’Éducation Nationale et donc dans la Fonction publique d’État.
✅Un recrutement à la hauteur de la charge de travail.
✅L’intégration des primes et indemnités dans les salaires.
✅L’augmentation des salaires pour toutes et tous avec un salaire minimum à 1850 euros.
✅L’abrogation du jour de carence.
